quinta-feira, 31 de maio de 2007

Crítica demócrata a la propuesta de Bush contra el calentamiento global


Nancy Pelosi, líder de la Cámara de Representantes, aseguró que el plan es un aglutinamiento de viejas soluciones. La iniciativa de la Casa Blanca propone discutir con otros 14 países el nivel de emisiones de gases que producen el efecto invernadero. Pero Washington se negó a firmar el protocolo de Kyoto, donde ya están estudiadas y previstas todas las normas contra el calentamiento del planeta.


Estados Unidos propuso un nuevo plan global contra el cambio climático, ignorando el protocolo de Kyoto, donde ya esta estudiado y previsto todas las normas para luchar contra el calentamiento del planeta. El presidente George W. Bush explicó que su gobierno trabajará a largo plazo con otros países para establecer un nuevo marco sobre las emisiones de gases de efecto invernadero, causantes del calentamiento del planeta. "Mi propuesta es esta: para el fin del año próximo, Estados Unidos y otros países establecerán un objetivo global de largo plazo para la reducción de los gases con efecto invernadero" en consulta con las principales naciones que producen estos gases, incluidos los líderes industriales, dijo Bush.


Para avanzar en el acuerdo, la Casa Blanca convocará una serie de reuniones a la que invitará a 14 países que, junto con Estados Unidos, son responsables del 80 por ciento de la contaminación del mundo.


Bush mencionó específicamente a India y China, aunque en la lista probablemente también estarán Brasil, Australia, Sudáfrica, México, Corea del Sur, Rusia y las mayores economías de Europa.


El primer encuentro tendrá lugar en Washington en el último trimestre del año, según la Casa Blanca. "Nuestras naciones reunirán a líderes empresariales de diferentes sectores de nuestras economías, como generadores de energía, productores de combustibles alternativos y compañías de transporte", añadió el mandatario estadounidense. Leia mais aqui no portal do jornal Clarín de Argentina


Un G8 sous tension

Editorial do jornal francês Le Monde

La réunion ministérielle, mercredi 30 mai à Postdam, en préparation du sommet du G8 d'Heiligendamm, du 6 au 8 juin, sous présidence allemande, n'a fait que confirmer les tensions qui parcourent cette enceinte des grandes puissances industrialisées.

Deux dossiers importants font l'objet de graves désaccords : celui de la lutte contre le réchauffement climatique, qui met aux prises les Etats-Unis et la chancelière allemande, Angela Merkel, qui en a fait l'une de ses priorités ; et celui du statut du Kosovo, la province albanophone que les Occidentaux voudraient faire accéder à un statut d'"indépendance surveillée", sans avoir réussi à emporter l'assentiment de la Russie. Moscou brandit la menace d'un veto au Conseil de sécurité de l'ONU.

Sur le Kosovo, une discussion tendue a opposé, à Potsdam, le ministre russe des affaires étrangères, Serguei Lavrov, et ses homologues américain et européens. Le représentant russe a jugé que les positions étaient "diamétralement opposées", arguant que toute modification des frontières serait lourde de déstabilisation dans les Balkans, avec des conséquences possibles dans le Caucase.

La Russie a déployé ces derniers mois une rhétorique particulièrement offensive, face aux Etats-Unis, au sujet du bouclier antimissile en Europe, et ses relations avec les Européens se sont détériorées, notamment à l'occasion d'une dispute sur le déplacement d'un monument soviétique en Estonie. En comparaison avec le G8 de Saint-Pétersbourg en 2006, celui de Heiligendamm s'annonce comme une réunion à haute tension. Leia mais aqui

Bertrand Delanoë ''Au PS, nous vivons une crise identitaire''

Bertrand Delanoë. Après la défaite de Ségolène Royal, le maire de Paris entend peser sur l'avenir du Parti socialiste et affirme ses ambitions nationales.


Propos recueillis par Christophe Barbier et Élise Karlin

Tous les espoirs sont permis au maire de Paris. La présidentielle révèle une sociologie électorale favorable en vue des municipales - il peut même lâcher les Verts pour une alliance au centre. La défaite de Ségolène Royal lui autorise, à l'horizon 2012 et s'il est réélu l'an prochain dans la capitale, de légitimes ambitions nationales. Il considère son action comme un laboratoire de modernité dont le Parti socialiste peut s'inspirer.
Libéré de sa fidélité à Lionel Jospin, indépendant de tous les éléphants, distant envers François Hollande, Bertrand Delanoë met un terme aux années de patience et sort de sa réserve. Il ne veut pas que l'avenir du PS s'écrive sans lui, il est prêt à fournir l'encre et surtout à tenir la plume. Pour L'Express, il pose ses vérités et prend date avec son parti
La gauche vient de perdre pour la troisième fois de suite l'élection présidentielle. Est-ce le résultat de l'inertie idéologique du PS depuis 2002?

Ces dernières années, nous n'avons pas suffisamment pris en compte les mutations du xxie siècle ni le contexte mondial de concurrence économique forte. Nous n'avons pas non plus assez affirmé que le progrès humain doit être l'objet même de notre projet politique, ce qui ne se vérifie plus dans la France contemporaine! Travaillons dans l'ordre: d'abord, le temps des législatives, où sont en jeu l'équilibre démocratique de notre pays et sa cohésion sociale. Puis viendra celui de l'élaboration d'une offre à vocation majoritaire, ce qui implique du temps, de l'imagination et, même, le sens du désintéressement.

Image, sondages: l'élection présidentielle relève-t-elle du pur marketing?

Je vis dans le temps présent. Il existe aujourd'hui une exigence de professionnalisme, et la campagne de Nicolas Sarkozy l'a montré. Pour autant, je ne veux pas que l'offre progressiste se soumette totalement à ces règles. Ainsi, les études qualitatives me semblent plus intéressantes que la mesure d'une popularité personnelle à un moment donné. Leia mais aqui no L'Express de França.

Policia Militar barra estudantes em passeata contra Serra


6 mil estudantes, trabalhadores e professores da USP estavam no cruzamento da Avenida Francisco Morato com a Avenida Morumbi, principal acesso ao Palácio dos Bandeirantes


Foto: ROBSON FERNADJES/AGÊNCIA ESTADO/AE
Estudantes da USP na esquina das avenidas Francisco Morato e Morumbi em passeata, sentido Palácio dos Bandeirantes, protestam contra os decretos do governador José Serra, relativos às universidades públicas, nesta quinta-feira (31). Agencia Estado

Serra cede e muda decretos que diminuiriam autonomia de universidades


RENATO SANTIAGO da Folha Online

Um decreto do governador José Serra (PSDB), publicado nesta quinta-feira no "Diário Oficial" do Estado, mudou cinco dos decretos publicados no início do ano e que desagradaram professores e estudantes das universidades públicas de São Paulo (USP, Unesp e Unicamp). A insatisfação culminou na ocupação da reitoria da USP, no Butantã (zona oeste de São Paulo), ocupada desde o último dia 3.

Em nota, o governo diz que o novo decreto apenas esclarece os anteriores, já que eles haviam sido alvo de "interpretações reiteradamente equivocadas", conforme afirma o "Diário Oficial".

O artigo 2º do decreto desta quinta, no entanto, muda quatro decretos anteriores, excluindo as universidades e a Fapesp. Nos textos originais, as medidas valiam para as autarquias ou fundações mantidas pelo Estado, sem exceção.

O novo decreto exclui as universidades e a Fapesp (Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo) de três decretos: o que proíbe a contratação de pessoal (51.471), o que exige a reavaliação de contratos e licitações (51.473) e o que estabeleceu a criação da Comissão de Política Salarial, subordinada o governador, que "fixa as diretrizes (..) em assuntos de política salarial".

Em relação ao decreto 51.461, que cria a Secretaria de Ensino Superior, as mudanças se referem a duas alíneas de um inciso do artigo 2º. As duas alíneas que, pelo novo decreto não se aplicam mais às universidades, são justamente as que declaram de competência da pasta a "ampliação das atividades de pesquisa" e políticas que "com vista a aumentar a percentagem de jovens que cursam a universidade".

O artigo 1º do decreto também garante independência orçamentária. De acordo com o texto, as universidades terão contas bancárias e "poderão efetuar transferências, remanejamentos, quitações, e tomar outras providências de ordem orçamentária". Fonte Folha Online

Europe Pushes to Get Fuel From Fields



ARDEA, Italy — The previous growing season, this lush coastal field near Rome was filled with rows of delicate durum wheat, used to make high-quality pasta. Today it overflows with rapeseed, a tall, gnarled weedlike plant bursting with coarse yellow flowers that has become a new manna for European farmers: rapeseed can be turned into biofuel.

Motivated by generous subsidies to develop alternative energy sources — and a measure of concern about the future of the planet — Europe’s farmers are beginning to grow crops that can be turned into fuels meant to produce fewer emissions than gas or oil. They are chasing their counterparts in the Americas who have been raising crops for biofuel for more than five years.

“This is a much-needed boost to our economy, our farms,” said Marcello Pini, 50, a farmer, standing in front of the rapeseed he planted for the first time. “Of course, we hope it helps the environment, too.” In March, the European Commission, disappointed by the slow growth of the biofuels industry, approved a directive that included a “binding target” requiring member countries to use 10 percent biofuel for transport by 2020 — the most ambitious and specific goal in the world.
Most European countries are far from achieving the target, and are introducing incentives and subsidies to bolster production.

As a result, bioenergy crops have replaced food as the most profitable crop in several European countries. In this part of Italy, for example, the government guarantees the purchase of biofuel crops at 22 euros for 100 kilograms, or $13.42 for 100 pounds — nearly twice the 11 to 12 euros for 100 kilograms of wheat on the open market in 2006. Better still, farmers can plant biofuel crops on “set aside” fields, land that Europe’s agriculture policy would otherwise require be left fallow.

But an expert panel convened by the United Nations Food and Agriculture Organization pointed out that the biofuels boom produces benefits as well as trade-offs and risks — including higher and wildly fluctuating food prices. In some markets, grain prices have nearly doubled. Leia mais aqui no The New York Times

Bush Urges Emissions Goal for Greenhouse Gases


WASHINGTON (AP) -- President Bush, seeking to blunt international criticism of the U.S. record on climate change, on Thursday urged 15 major nations to agree by the end of next year on a global emissions goal for reducing greenhouse gases.


Bush called for the first in a series of meetings to begin this fall, bringing together countries identified as major emitters of greenhouse gases blamed for global warming. The list would include the United States, China, India and major European countries.
The president outlined his proposal in a speech ahead of next week's summit in Germany of leading industrialized nations, where global warming is to be a major topic and Bush will be on the spot.


The United States has refused to ratify the landmark 1997 Kyoto Protocol requiring industrialized countries to reduce greenhouse gases to 1990 levels by 2012. Developing countries, including China and India, were exempted from that first round of cuts. Bush rejected the Kyoto approach, as well as the latest German proposal for what happens after 2012.


Duas notas da newsletter O Filtro

por Thomas Traumann

Enfim, uma decisão

Depois de quase seis anos de discussão, as licenças prévias para as duas hidrelétricas no Rio Madeira (Rondônia) poderão sair ainda hoje, prevê O Estado (acesso restrito). As usinas, com capacidade de meia Itaipu, são as obras mais polêmicas do governo Lula. Em artigo n'O Globo (acesso restrito), o jornalista Carlos Alberto Sardenberg reduz a questão sobre a construção das duas usinas à escolha entre ter mais energia elétrica ou proteger os bagres do rio Madeira. Ele é a favor da energia. No mesmo jornal, a colunista Miriam Leitão mostra a sua empatia com os bagres.

Índio quer royalties?

A polêmica ambiental sobre as usinas no rio Madeira ainda nem acabou e o governo inicia outra. Segundo o Valor (acesso restrito), está na fase final de elaboração um projeto que prevê a abertura de todas as terras indígenas para a exploração das mineradoras. As empresas pagariam royalties sobre o faturamento para as comunidades. Leia O Filtro no portal da revista Época

Jornal da Tarde denuncia

Clique na imagem do artigo do JT para ampliar

La croissance américaine au plus bas depuis quatre ans

AP/CARLOS OSORIO Chaîne d'assemblage de la Ford Mustang, à l'usine de Flat Rock, Michigan (Etats-Unis).


La croissance américaine au premier trimestre a été révisée à la baisse, à + 0,6 % seulement en rythme annuel, a indiqué, jeudi 31 mai, le département du commerce. La croissance atteint ainsi son niveau le plus faible depuis le quatrième trimestre 2002, juste avant le début de la guerre en Irak.



La hausse du produit intérieur brut (PIB) avait atteint + 2,5 % au dernier trimestre 2006. Pour le premier de 2007, elle avait été estimée à + 1,3 % il y a un mois. Ces derniers jours, les analystes tablaient sur une hausse de 0,8 %. Mais la banque centrale (Fed) avait estimé lors de sa dernière réunion, dont le compte rendu a été publié mercredi, que ces chiffres exagéraient peut-être l'ampleur du ralentissement réel de l'économie.



Le département du commerce a expliqué la révision à la baisse par deux facteurs principaux. D'une part, le déficit commercial s'est creusé, amputant la croissance de l'équivalent d'un point de PIB : les Américains ont plus importé que prévu au premier trimestre (+ 5,7 %, au lieu de + 2,3 %) tandis que les exportations reculaient de 0,6 % (au lieu de – 1,2 %). D'autre part, les stocks des entreprises se sont réduits (– 4,5 milliards de dollars au lieu de + 14,8 milliards), pesant sur la croissance de près d'un point, car c'est autant que les entreprises n'ont pas produit.



La demande finale, qui mesure le PIB moins les stocks, a ainsi progressé de 1,6 % (inchangé).
Pour le reste, le rapport décrit toujours une économie entraînée par la consommation des ménages, malgré le choc de l'immobilier résidentiel.



La banque centrale a averti mercredi que la correction du secteur pourrait durer plus longtemps que prévu et peser sur la croissance pendant une bonne partie de 2007. Le risque est que la consommation, pilier de la croissance, ne se mette à vaciller si les difficultés immobilières contaminaient le pouvoir d'achat des ménages. leia mais aqui no jornal francês Le Monde

Morreu o ator francês Jean-Claude Brialy

A carreira




Veja as fotos

Buenos Aires: A tres días de la elección, sigue la guerra de encuestas


La supuesta influencia de las encuestas en la decisión del voto de los porteños ha desatado una verdadera guerra de sondeos entre los candidatos para esta elección, sólo comparable al cruce de acusaciones.


El punto más alto de la batalla lo siguen manteniendo los postulantes a jefes de Gobierno Daniel Filmus y Jorge Telerman. Desde sus equipos de campaña juran que su candidato es el que está segundo y que terminará compitiendo contra Mauricio Macri, quien, coinciden todos, lidera la intención de voto para el próximo domingo.


Ayer, salieron a la luz cuatro sondeos nuevos. Tres encargados por Filmus y el Gobierno nacional, y uno por Telerman. Tienen diferencias sensibles.

El encargado por el jefe de Gobierno es de Opinión Autenticada, que suele venderse como "la única encuestadora que acertó en Misiones". Este sondeo pone a Macri (30,07%) y Telerman (25,11%) en el ballottage del 24 de junio, cómodamente por encima de Filmus (15,33%). Esta misma consultora, hace menos de una semana, lo daba al jefe de Gobierno a sólo 3,2 puntos por encima del ministro de Educación. Y ambos a más de 10 del líder de PRO.

En todas las encuestas que difundió el kirchnerismo, Filmus aparece en segundo lugar. Donde más diferencia tiene sobre Telerman es en la de la firma CEOP: 24,3% contra 21,7%. Macri allí lidera con 36,2%.


En la medición de Equis, encargada por la Casa Rosada, el candidato K aparece sólo 1,2 punto arriba del alcalde porteño (21,9% contra 20,7%). Otra vez ambos están lejos del presidente de Boca, que puntea con 35,9%.


Por último, en el trabajo firmado por Ricardo Rouvier, también difundido por el equipo de Filmus, el ministro figura con 21,7%, frente a 20,2% de Telerman. Macri, allí, obtiene los mejores números: 38,3%.En tres de los cuatro trabajos, Patricia Walsh aparece cuarta por encima de Claudio Lozano. Publicado por Clarín de Argentina

Eleições em Buenos Aires: teste para Kirchner


RESPALDO. Filmus se mostró con el Presidente en el cierre oficial de la campaña

El candidato porteño por el oficialismo cuestionó a Mauricio Macri y Jorge Telerman, sus principales oponentes en la pelea por la jefatura de Gobierno porteña. Néstor Kirchner, en tanto, resaltó la gestión del ministro de Educación y pidió apoyo para construir en la Ciudad una "síntesis superadora". Fonte Clarín de Argentina

Aborto internou 1,2 milhão de mulheres desde 2002

Relatório internacional diz que situação no país é preocupante.
Prática ilegal faz 230 mil mulheres buscarem atendimento do SUS anualmente.

Cerca de 1,2 milhão de brasileiras foram hospitalizadas nos últimos cinco anos devido a infecções, hemorragias vaginais e outras complicações decorrentes de abortos ilegais, segundo relatório divulgado na quarta-feira (30) pela Federação Internacional de Planejamento Familiar (IPPH, na sigla em inglês).

De acordo com a pesquisa, as nordestinas recorrem ao aborto com o dobro da frequência das mulheres do sul.

"A proibição legal não elimina a prática do aborto, todo mundo sabe disso", afirmou Carmem Barroso, diretora da IPPF para o Hemisfério Ocidental. A lei brasileira só autoriza o aborto em poucos casos, como estupro e risco à vida da gestante.

O relatório da entidade, baseado em dados do Ministério da Saúde, é divulgado apenas duas semanas depois de o papa Bento 16 condenar a prática do aborto durante sua visita ao Brasil.

O relatório estima que ocorram 1 milhão de abortos por ano no Brasil, aí incluídos os espontâneos e as interrupções ilegais da gravidez. A cada cem mil crianças nascidas vivas, cerca de cinco mulheres morrem devido a procedimentos inseguros.

Todos os anos, cerca de 230 mil mulheres buscam atendimento do SUS devido a complicações como hemorragias e perfuração do útero ou da parede vaginal. Mulheres negras, indígenas e pobres recorrem ao aborto em níveis desproporcionais, segundo a médica Maria José Araújo, participante da comissão de especialistas que apresentou o relatório. Leia mais aqui no G1 Portal da Globo

Todos os diretores da Unicamp exigem mudanças nos decretos de Serra

Folha de São Paulo

Diretores da Unicamp pedem fim da nova Secretaria de Ensino

23 diretores de unidades assinaram manifesto em que pedem mudanças nos decretos do governador José Serra

Segundo o governo, medidas não interferem na autonomia e as universidades não precisam de autorização para fazer remanejamentos

FÁBIO TAKAHASHIDA REPORTAGEM LOCAL
UIRÁ MACHADO COORDENADOR DE ARTIGOS E EVENTOS

Todos os 23 diretores de unidades de ensino da Unicamp assinaram manifesto, finalizado ontem, em que pedem mudanças nos decretos do governador José Serra (PSDB-SP) que, segundo eles, interferem na autonomia universitária. Eles chegam a exigir o fim da Secretaria de Ensino Superior.

Segundo o diretor do IEL (Instituto de Estudos da Linguagem), Alcir Pécora, as explicações dadas pelo governo até agora não são suficientes para garantir a autonomia da USP, Unesp e Unicamp."São posições transitórias, que podem mudar com uma alteração de secretariado ou de gestão", diz Pécora. O argumento é semelhante ao dos estudantes que invadiram a reitoria da USP há 28 dias.

O manifesto pede, entre outras medidas, que fique explícito na redação do decreto 51.471 que ele não se aplica às universidades. O texto da norma diz que estão "vedadas a admissão ou contratação de pessoal" nos órgãos do Estado, inclusive nas autarquias de regime especial -grupo em que estão as universidades estaduais paulistas. leia mais aqui (para assinantes)

SP "encolhe" em produção, vendas e vagas na indústria

Estado puxou desconcentração do setor entre 1996 e 2005, diz pesquisa do IBGE

Região Sudeste foi a única a perder participação no contexto nacional tanto em produção como em pessoal ocupado na indústria

CLARICE SPITZDA
FOLHA ONLINE, NO RIO

Principal parque industrial do país, São Paulo acumulou perdas na participação da produção nacional, das vendas e de empregados em nove anos. Pesquisa realizada pelo IBGE (Instituto Brasileiro de Geografia e Estatística) sobre o comportamento da indústria brasileira entre os anos de 1996 e 2005 mostra que o Estado foi o principal vetor do processo de desconcentração industrial no país nesse período.

A região Sudeste foi a única a perder participação tanto em termos de produção quanto de pessoal ocupado na indústria. A região passou de uma fatia de 68,4%, em 1996, para 63,5%, na produção. Já o emprego industrial paulista recuou 6,8 pontos percentuais no período.

Para o coordenador de Indústria do IBGE, Silvio Sales, o movimento de perda de espaço da indústria paulista está relacionado, entre outros motivos, à elevação dos custos, à guerra fiscal entre Estados e à expansão da fronteira agrícola. Como ficou mais caro investir na região metropolitana, projetos industriais migraram para o interior e outros Estados."Quando se compara a representação da Grande São Paulo em relação ao interior há 15 anos, vê-se um processo interno de desconcentração industrial, que em si não é negativo. Ele pode possibilitar uma redução da desigualdade, uma fixação das populações em áreas menos ocupadas", afirma.

A indústria paulista apresentou uma forte queda de 9,2 pontos percentuais no espaço que ocupava na produção industrial brasileira. O valor da transformação industrial de SP, que é a diferença entre o valor bruto da produção e o custo das operações, reduziu-se de metade da produção brasileira, em 1996, para 40,2%, em 2005.

O setor recuou ainda na participação no emprego industrial e passou a corresponder a 36,4% do total de ocupados. Em 96, representava 42% do emprego na indústria. As atividades que mais contribuíram para essa redução foram os segmentos têxtil, de vestuário e de acessórios.

Em valores de vendas, São Paulo também apresentou declínio. O Estado, que respondia por 46,4% do total em 2000, passou para 41,6% em 2005. As vendas de bens de capitais no Estado passaram de 66,6% para 57,4% das vendas totais desse setor no país.A indústria paulista também caiu nas exportações. O Estado teve um declínio de 3,8 pontos percentuais entre 2000 e 2005, na contramão das expansões verificadas no Rio de Janeiro, em Mato Grosso e na Bahia.Na indústria fluminense, a perda de participação no emprego industrial se deu basicamente no segmento de alimentos. O Rio de Janeiro passou a concentrar, em 2005, 5,7% do total ocupado na indústria. Em 1996, o Estado representava 7,9%. Leia mais aqui (para assinantes)

Aborto ilegal mata 70 mil por ano

Karla Correia para o JB

BRASÍLIA. Um estudo divulgado ontem pela Federação Internacional de Planejamento Familiar veio dar mais munição ao governo no debate sobre a legalização do aborto no país. De acordo com o relatório, 70 mil mulheres morrem a cada ano por causa de complicações decorrentes de abortos. Nenhuma dessas mortes ocorreu em países onde o procedimento é legalizado, afirma a diretora da federação, Carmem Barroso.

- As maiores vítimas são as mulheres pobres e as meninas mais jovens, que não têm acesso ao aborto seguro - disse Carmem, ao apresentar os resultados do relatório, que revela ainda forte ligação entre a pobreza e a prática de aborto. De acordo com o trabalho, mais de 96% dos abortos são realizados nos países mais pobres do mundo, 17% dos procedimentos acontecem na América Latina.

No Brasil, essa relação se repete. Dados do Ministério da Saúde mostram que 63,8% das mortes maternas no país são registradas no Nordeste. Cerca de 9,5% desse montante está diretamente relacionado com complicações decorrentes de abortos forçados.

Para secretário-executivo da organização não-governamental Bem-Estar Familiar no Brasil (Bemfam), Ney Costa, esses números subestimam o real tamanho do problema de mortes por aborto no país. Segundo ele, as ocorrências de infecção generalizada e hemorragia citadas como causa de morte nas certidões de óbito de mulheres muitas vezes escondem o principal motivo da morte - as complicações de um aborto inseguro. A ONG estima que o percentual de mortes maternas relacionadas à interrupção de gravidez seja, no mínimo, três vezes maior do que as estatísticas apontam. Leia mais aqui

Dinheiro sobra, faltam uniformes em São Paulo

Do portal do jornal O Estado de São Paulo

30 de maio de 2007 - 21:02

SÃO PAULO - O Jornal da Tarde publica nesta quinta-feira uma reportagem sobre as aplicações da Prefeitura de São Paulo, que mantém investimentos, em quatro bancos, um total de R$ 5 bilhões, valor que corresponde a cerca de um quarto de todo o orçamento previsto para este ano, de R$ 21,5 bilhões. A maior parte desses recursos é formada por sobras de impostos, taxas e multas arrecadados em 2005 e 2006. No entanto, falta verba para atender programas prioritários da cidade.

O jornal pede para você opinar: clique aqui

quarta-feira, 30 de maio de 2007

Ministros prestigiam chegada da tocha do Pan 2007 no Brasil


Em reunião realizada nesta quarta (30) no Ministério do Turismo, a ministra Marta Suplicy e o ministro do Esporte, Orlando Silva, discutiram detalhes da parceria entre as duas pastas na organização dos Jogos Pan-americanos Rio 2007, que começam em julho.

Eles confirmaram presença na cerimônia de chegada da Tocha do Pan no próximo dia 5 de junho, em Santa Cruz Cabrália, na Bahia, onde começa o revezamento deste símbolo em território brasileiro. A tocha será acesa no dia 4 de junho no México e depois de chegar ao Brasil percorrerá 27 capitais e 21 localidades, totalizando 51 pontos de passagem. As cidades-anfitriãs, incluindo as de outras nações, representarão os países das Américas participantes dos Jogos Pan-americanos 2007.

O revezamento termina no Rio de Janeiro, em 13 de julho, dia da cerimônia de abertura dos jogos no Estádio do Maracanã. Os investimentos do MTur em ações relacionadas ao PAN são da ordem de R$ 117 milhões. A maior parte destes recursos - R$ 107 milhões- está sendo aplicada na reforma, ampliação e melhorias no aeroporto Santos Dumont. Os outros R$ 10 milhões vão para projetos destinados a promover a imagem do país, proporcionar a inclusão social, melhorar o atendimento ao turista e ampliar as condições de qualificação da cidade do Rio de Janeiro para sediar eventos internacionais, por meio de ações diversificadas. Fonte Ministerio do Turismo

A queda na Bolsa de Valores de Shangai


Uma imagem que diz tudo

30 AÑOS - 30 NOMBRES

Eric Calcagno y Maillmann Ambassadeur de la République Argentine
vous prie d'assister à la projection du film documentaire de 34mn réalisé à l'occasion du 30ème anniversaire du Coup d'Etat militaire en Argentine devant et à l'intérieur de la prison U9 de La Plata en hommage aux 13 prisonniers assassinés et aux 17 membres de leurs familles séquestrés puis disparus à jamais.

Suivie d'un débat en présence du réalisateur Carlos Martínez et du cinéaste Alberto Marquardt
qui présentera des extraits filmés de la pièce de théâtre "Coronda en Acción" (adaptation du livre "Del otro lado de la mirilla" / "Olvidos y memorias de los ex presos políticos de la cárcel de Coronda" 1974-1979) écrit par 60 ex prisonniers politiques de cette prison dont certains jouent aussi dans la pièce. Mise en scène de Graciela Camino

Modérateur Carlos Schmerkin

GALERIE ARGENTINE 6, rue Cimarosa - 75116 Paris
le jeudi 31 mai à 18h30

Obama "Há qualquer coisa de espiritual nele"



12.02.2007, Joana Amado

Teve que viajar de Chicago até a uma aldeola queniana junto das margens do Lago Vitória para se encontrar. A vida de Barack Obama, a estrela política do momento nos Estados Unidos, dava um livro. Ele já o escreveu. Aos 33 anos.

Obama é branco e é negro. É do Kansas e é do Quénia. Nasceu no Havai, cresceu na Indonésia, estudou em Los Angeles e Nova Iorque e construiu a sua carreira profissional e política em Chicago. Obama é exótico. Obama é diferente. Obama é uma estrela rock. É sexy. Os americanos estão excitados com o novo candidato. "Há qualquer coisa de espiritual nele", diz Kris Schultz que dirige o site "Run Obama", criado para "convencer" o senador de 45 anos a candidatar-se à presidência dos Estados Unidos.

Há 12 anos, quando era ainda uma figura em ascensão na cena política de Chicago, escreveu as suas memórias, um livro de auto-descoberta que se tornou num best-seller nacional quando Obama foi eleito senador pelo estado de Illinois em 2004. Um livro de memórias aos 33 anos? O próprio explica que se trata do relato "de uma rapaz à procura do seu pai, e de como através dessa busca encontrou um significado prático para a sua vida como um negro americano".


"Dreams from my father, A story of race and inheritence" começa no meio da história, em Nova Iorque, quando o estudante universitário Barack recebe um telefonema de longa distância a informá-lo que o seu pai tinha morrido num acidente de carro no distante Quénia. "Na altura da sua morte, o meu pai permanecia um mito para mim", escreve Obama. De Barack Hussein Obama, o filho só conhecia as histórias que a mãe e os avós lhe foram contando ao longo da infância e da adolescência. Ao vivo, e que Obama se lembre, só conheceu o pai uma única vez, quando este o visitou no Havai tinha o jovem "Barry" dez anos. Antes disso não conta, porque o pai deixou a sua família americana quando o filho tinha apenas dois anos.

E quem era Barack pai? "Era um africano", escreve Obama. Um queniano da tribo Luo, nascido nas margens do Lago Victória num sítio chamado Alego. A aldeia era pobre, mas o seu pai - o avô Hussein - tinha sido um agricultor importante, um ancião da tribo, um curandeiro. "O meu pai cresceu a pastar as cabras do seu pai e a estudar na escola local, estabelecida pela administração britânica, onde se revelou um aluno promissor". De Alego partiu para Nairobi com uma bolsa de estudo e depois seguiu para os Estados Unidos, integrando a primeira vaga de africanos que foram enviados (com fundos ocidentais) para o "Primeiro Mundo" para se formarem de forma a regressarem a casa com as ferramentas necessárias para "construir uma nova e moderna África".

Em 1959, com 23 anos, chegou à Universidade do Havai como o único estudante africano daquela instituição. Em três anos graduou-se em econometria como o melhor da turma.

Foi também o mentor e primeiro presidente da Associação Internacional de Estudantes da universidade. Conta Obama: "Num curso de russo, conheceu uma americana tímida, que tinha apenas 18 anos, e os dois apaixonaram-se. Os pais da rapariga a princípio mostraram-se muito prudentes mas depois foram conquistados pelo seu charme e a sua inteligência; os dois casaram-se e tiveram um filho que recebeu o nome do pai". Depois..., bem, depois Barack não podia parar. Deixou a sua recém-inaugurada família para ir para Harvard, onde se doutorou, e regressou ao Quénia onde tinha a sua missão por cumprir. Leia mais aqui no jornal O Público de Portugal (versão impressa para assinantes)

Overhaul of Immigration Law Could Reshape New York

Todd Heisler/The New York Times Jamal Hussain, 26, from Bangladesh, runs a deli on the Lower East Side, which he opened with the help of relatives.


By NINA BERNSTEIN
Published: May 30, 2007

Few places in the United States could be more deeply affected by the proposed overhaul of legal immigration than New York, say scholars and demographers of immigration.

The proposed law certainly would not end the flow of legal immigration to New York. But it could profoundly alter the currents that have long fed the city’s mom and pop entrepreneurship, its kaleidoscopic diversity, and family networks that nurture and help assimilate newcomers.

More of the city’s newcomers, compared with immigrants in other parts of the country, continue to gain entry through the very family visas that the pending bill would restrict or abolish — and that would be replaced with a point system based on skills and education. Leia mais aqui no The New York Times

China Triples Tax on Stock Trades

By KEITH BRADSHER for The New York Times
Published: May 30, 2007

HONG KONG,

Chinese stocks plunged today after China’s finance ministry announced early this morning that it would triple the tax on stock trades, a move aimed at braking what many business executives and economists inside and outside China now see as a stock market bubble.

Just seven days ago, the finance ministry and the State Administration of Taxation took the unusual step of publicly denying that they had any plans to change the tax on stock trading. The finance ministry reversed itself with a statement on its Web site early this morning noting that increase had been ordered by the State Council, the cabinet of the Chinese government.

By raising the tax, the government now runs the risk of being blamed by the Chinese public if it sets off a stock market rout. A composite index of yuan-denominated A shares traded in Shanghai and Shenzhen plunged 6.3 percent at the opening today, partly recovered by midmorning for a loss of 2.7 percent, then slumped to post a loss of 6.3 percent again by midafternoon.

Millions of citizens have invested their savings in a market that has nearly quadrupled since the start of last year. New investors, many of them with no experience in trading stocks, have been opening brokerage accounts at a pace of roughly 300,000 a day for the last two weeks, with a record 455,111 accounts opened on Monday. Leia mais aqui

A Lei Maria da Penha

Ao completar seis meses de vigência, a Lei 11.340 - a Lei Maria da Penha -, concebida para proteger as mulheres contra a violência, apresentou um balanço que surpreendeu os especialistas. Só no Estado de São Paulo, o número de denúncias por lesão corporal protocoladas nas 125 Delegacias da Mulher caiu 18,8% desde que o texto foi sancionado, em setembro de 2006. (...)



A principal inovação da Lei Maria da Penha foi tipificar a violência doméstica contra a mulher, no âmbito físico, sexual, psicológico e moral, e tornar mais rigorosas as sanções penais aplicáveis ao agressor. Até o advento da lei, a lesão corporal sofrida pela mulher era classificada como simples rixa e a pena máxima aplicada ao agressor, nos Juizados Criminais Especiais, que julgam delitos de baixo potencial ofensivo, era de um ano de detenção, podendo ser substituída pelo fornecimento de cestas básicas, pagamento de multa ou prestação de serviços comunitários. Além disso, a mulher podia retirar a queixa feita na polícia, o que a submetia a pressões e abria caminho para a impunidade do agressor.



Agora, a lei possibilita a prisão em flagrante do agressor e a detenção preventiva, quando houver ameaça à integridade física ou psicológica da vítima. Uma vez feita a denúncia à polícia, não há mais como parar o inquérito criminal e o processo penal. A responsabilidade pelo julgamento não cabe mais aos Juizados Especiais, mas às varas criminais convencionais e, nos casos mais urgentes, o juiz tem até 48 horas para apreciar o inquérito e determinar as providências a serem tomadas pela polícia. O pagamento de multas e cestas básicas não é mais admitido nos crimes contra a mulher e a pena de prisão passa a ser de até três anos. A Lei Maria da Penha também permite ao juiz criminal determinar a imediata saída do agressor de casa, além de obrigá-lo a comparecer, sob pena de detenção, a programas de recuperação e reeducação comportamental. Prevê o transporte da vítima e de seus filhos a um abrigo seguro, quando houver ameaça de morte. Garante proteção policial para a retirada dos pertences da mulher de casa. Define critérios para atendimento médico e exame de corpo de delito. E permite à mulher ser notificada de todas as etapas do processo criminal aberto contra o agressor, especialmente as datas de seu ingresso e de sua saída da prisão.(...)



A violência contra mulheres no âmbito doméstico é mais freqüente do que se imagina. Um em cada 5 dias de falta ao trabalho tem como causa a violência sofrida pelas mulheres dentro de casa, segundo estudos do Banco Mundial. O custo total da violência doméstica, em termos de atendimento médico e falta ao trabalho, oscila entre 1,6% e 2% do PIB. Na América Latina, o Brasil foi o 18º país a contar com uma lei específica para casos de violência doméstica. Bastaram seis meses de vigência para se ver a falta que essa lei fazia. Leia aqui no jornal O Estado de São Paulo a matéria na integra

O MINISTÉRIO DO MEIO AMBIENTE ADVERTE: Combate a gás da camada de ozônio poupa "um Kyoto"

DA REDAÇÃO DA FOLHA DE SÃO PAULO
O Brasil e a Argentina apresentarão na próxima semana, num encontro internacional no Quênia, uma proposta para que os países ricos financiem os pobres para acelerar a eliminação dos HCFCs (hidroclorofluorcarbonos), gases que destroem a camada de ozônio e causam o efeito estufa.A eliminação dessas substâncias em 2040 e o congelamento de sua produção em 2015 é prevista pelo Protocolo de Montreal, acordo internacional firmado em 1987 para salvar a camada de ozônio do planeta.Um cálculo do Ministério do Meio Ambiente mostra, no entanto, que é possível estabilizar as emissões em 2011, evitando 14 milhões de toneladas desses gases na atmosfera. Como os HCFCs têm um potencial de absorver calor (e esquentar a Terra) milhares de vezes maior que o do gás carbônico, o principal gás-estufa, mesmo uma economia modesta de suas emissões teria um impacto grande no clima.Segundo Ruy de Góes, da Secretaria de Mudanças Climáticas do ministério, a proposta significaria deixar de emitir 5,5 bilhões de toneladas equivalentes de gás carbônico, ou a meta do acordo de Kyoto. Isso será usado para convencer nações como os EUA a engordar um fundo que banca a eliminação desses gases no Terceiro Mundo. "A proposta tem duplo benefício", afirma.

CLIMA: Pelosi e Merkel pedem acordo "multilateral"

DA REUTERS
A presidente da Câmara dos Representantes dos EUA, Nancy Pelosi, sinalizou ontem que o país deverá integrar algum acordo global para combater a mudança climática caso os republicanos percam as eleições presidenciais. A declaração foi dada após um encontro com a chanceler alemã Angela Merkel, em Hamburgo, para debater o assunto."Me associo completamente aos comentários da chanceler de que a solução tem de ser multilateral", disse a deputada democrata. Merkel havia dito que "acordos multilaterais no futuro" terão de ser feitos para salvar o clima.

terça-feira, 29 de maio de 2007

Les scandales sur les produits "made in China" suscitent l'inquiétude

do jornal Le Monde de França

Même si la Chine n'a pas bâti sa réputation à l'export sur les produits alimentaires et pharmaceutiques, elle en écoule tout de même pour 30 milliards de dollars (22,3 milliards d'euros) par an à l'étranger. Les récents scandales concernant ce type de produits dont certains composants empoisonnés provenaient de la République populaire risquent en tout cas de renforcer la méfiance à l'égard du "made in China".

En 2006, peut-être une centaine de personnes seraient mortes au Panama après avoir ingéré du sirop contenant du glycol de diéthylène, un solvant industriel utilisé, entre autres, dans la fabrication d'antigel. Une usine chinoise de la province du Jiangsu qui prétendait produire de la glycérine aurait remplacé cet inoffensif sirop avec le poison afin de faire baisser ses coûts de production...

Plus récemment, les autorités panaméennes et celles de la République dominicaine ont annoncé avoir trouvé des traces de ce même glycol de diéthylène dans 6 000 tubes de dentifrices fabriqués en Chine et vendus sous le nom de "Mr cool" et "Excel".


UNE LISTE ÉCOEURANTE

Le responsable de l'une des entreprises incriminées, Chen Yaozu, a reconnu qu'un tel solvant était utilisé mais a soutenu que, mélangé en petites quantités, il ne présentait aucun danger, les utilisateurs recrachant la pâte dentifrice. En outre, à ajouté M. Chen, le diéthylène n'est pas interdit en Chine.

Des agents du Bureau d'inspection de la sécurité pharmaceutique et alimentaire chinoise viennent de se rendre dans la province du Jiangsu pour mener une enquête.
Après une affaire de gluten de blé utilisé dans la composition de la nourriture pour animaux et qui a provoqué la mort de milliers de chats et de chiens aux Etats-Unis après avoir été mélangé avec de la mélamine, une dangereuse substance chimique, la situation s'est dégradée entre Pékin et la Food and drug administration (FDA) américaine, chargée de la sécurité alimentaire...

Outre-Atlantique, plusieurs journaux viennent par ailleurs de révéler que 257 produits "made in China" ont été saisis le mois dernier à l'arrivée aux Etats-Unis : sachets de pommes lyophilisées contenant un produit chimique cancérigène, poissons chats surgelés dans une substance mélangée avec des antibiotiques interdits, sardines et coquilles saint-jacques conservées dans des emballages infectés par une bactérie, champignons mélangés avec des pesticides, telle est l'écoeurante liste publiée par le Washington Post...

Après la révélation faite par les Panaméens, la FDA a interdit toute importation de dentifrices provenant de Chine.

Face à ce tapage médiatique, le gouvernement chinois s'efforce de dissiper les craintes et de faire taire les voix alarmistes. Une porte-parole du ministère des affaires étrangères, Jiang Yu, a rappelé que "la Chine attache une grande importance aux questions de sécurité alimentaire et est prête à travailler de concert avec la communauté internationale en la matière." De bonnes intentions qui ne seront sans doute pas suffisantes pour redresser l'image du pays en matière d'exportation de produits alimentaires.

Bruno Philip

Bancada do PT apresenta projeto que muda Lei Cidade Limpa

Rádio CBN - CBN São Paulo - 09h45 -

A bancada do PT na Câmara Municipal apresentou um projeto de lei que pretende mudar a Lei Cidade Limpa, que está em vigor na Capital desde 1º de janeiro. Uma das várias mudanças seria para todos os proprietários de imóveis que teriam que se adaptar à Lei Cidade Limpa, sejam reincididos, não pagando imposto predial.

Ouça aqui Tempo: 7m25s

Aposentados terão crédito consignado para viajar

Marta Suplicy, Ministra de Turismo

A ministra do Turismo, Marta Suplicy, calcula que os juros ficarão abaixo de 1%

Clarissa Thomé

RIO - O Ministério do Turismo lança na primeira semana de agosto um programa de incentivo a viagens por meio da concessão de crédito consignado para aposentados. A ministra Marta Suplicy calcula que os juros ficarão abaixo de 1%.

"Queremos ampliar a possibilidade de consumo para quem não teve acesso ao turismo. A idéia é concorrer com o celular, com parcelas de R$ 40", afirmou.

Os aposentados de São Paulo e Brasília serão os primeiros contemplados com o programa. O crédito será concedido pelo Banco do Brasil e pela Caixa Econômica Federal. O ministério negocia com operadoras do Nordeste os primeiros pacotes.

Setor

O primeiro quadrimestre de 2007 foi positivo para o setor de turismo. O total de desembarques domésticos alcançou 16,4 milhões, um aumento de 9,1% sobre o mesmo período de 2006. O mês de abril registrou o recorde de 4,5 milhões. Janeiro de 2007 havia registrado o maior número de desembarques com 4,11 milhões. Fonte Agencia Estado

Pensata de Valdo Cruz na Folha Online


Meta é alta e vai baixar

Quem diria, hoje já é possível ouvir dentro do governo Lula, de gente do primeiro time, que a meta de inflação de 4,5%, válida para esse e o próximo ano, é "alta" e será reduzida para 2009. Ou seja, internamente já é dado como certo que a meta de inflação vai cair e deve ir para os 4%.

Algo totalmente inimaginável durante o primeiro mandato, quando chegou-se até a discutir reservadamente a tese de que era melhor aceitar um pouco mais de inflação a fim de permitir que o país crescesse um pouco mais. Tese que acabou derrotada pela dupla Antonio Palocci/Henrique Meirelles, que conseguiram convencer o presidente de que era importante manter tudo como estava para dar credibilidade ao sistema de metas de inflação.

Agora, até aqueles que torciam o nariz para a meta de 4,5% e defendiam um pouco mais de inflação estão mudando de lado. Justificativa: o cenário econômico mudou tanto que só uma tragédia na economia fará com que a inflação fique acima de 4% nos próximos anos. Em 2006, ficou em 3,1%. No atual, a previsão é de 3,6%. E por aí deve ficar nos anos seguintes.

Licenças à vista

Saem essa semana, provavelmente na quinta-feira, as licenças ambientais para as usinas hidrelétricas de Santo Antônio e Jirau, no rio Madeira. Foi tudo acertado na sexta-feira passada.


Os dois lados que se digladiavam, Dilma Rousseff (Casa Civil) e Marina Silva (Meio Ambiente) juram que fizeram as pazes e tudo está acertado. O discurso interno é que as duas usinas vão se transformar num caso exemplar dentro do governo de como devem ser tratadas as licenças ambientais.

Não é o caso de atropelar e destruir o meio ambiente nem de imperar o radicalismo ecológico. Dentro do Ibama (Instituto Brasileiro de Meio e Ambiente e Recursos Renováveis) havia muita gente que era simplesmente contra qualquer tipo de hidrelétrica na Amazônia e ponto final. Esse grupo foi derrotado. Como também não prevaleceu a posição daqueles que defendiam atropelar o grupo de Marina Silva. O país só vai sair ganhando. Leia mais aqui

Grupo Rosset estuda levar produção para o exterior

Ivo Rosset, presidente do grupo, avalia instalação
de uma fábrica-piloto na China ou no Sri Lanka,
além do Caribe


Patrícia Nakamura para o jornal Valor

O empresário Ivo Rosset, presidente do grupo que leva o nome da família - fabricante das marcas Valisère, Cia. Marítima, além de tecidos e rendas - já cogita abrir uma unidade de produção fora do país. Insatisfeito por perder negócios no exterior nos últimos anos - e obrigado a abrir mão das margens para manter os mercados já conquistados - o executivo analisa a instalação de uma fábrica-piloto na Ásia ou em algum país do Caribe para recuperar o faturamento que a empresa conseguira fora do país.

Há pelo menos três anos o faturamento do grupo Rosset se mantém estável na casa dos R$ 600 milhões. Enquanto o ritmo de crescimento do mercado interno vem acompanhando o do PIB, as vendas externas, que representavam na época cerca de 25%, neste ano devem cair pela metade. As vendas caíram tanto no segmento de tecidos como o de confecções (lingerie e moda praia). "Temos tecnologia e produtos para competir no mundo todo. Nosso problema é do portão da fábrica para fora", afirmou Rosset ao Valor.

O empresário disse ser penalizado - assim como toda a cadeia têxtil nacional - pela combinação perversa de real valorizado, alta carga tributária e competição dos produtos chineses. Um dos entusiastas da campanha de Luiz Inácio Lula da Silva à presidência em 2002, Rosset criticou a política de juros, que segundo ele é o principal responsável pela atração de dólares para o país, valorizando a moeda local. "Nossa taxa deveria ser de, no máximo, dois pontos percentuais acima dos juros americanos, mais a inflação", o que nas contas do empresário resultaria em juros próximos a 10% ao ano. "Ao cortar essa 'gordura', o dólar poderia voltar ao patamar de R$ 2,20 a R$ 2,30, o que pode ser considerado saudável para o setor têxtil".

O empresário também não poupou críticas à carga tributária e a falta de mecanismos de compensação para fazer frente às importações chinesas. "Quando exportamos, mandamos para fora também os impostos trabalhistas, tirando a competitividade do produto brasileiro". Rosset deve visitar a China em setembro para analisar as condições locais e já recebeu uma delegação de empresários do Sri Lanka. Esses dois países têm uma forte indústria têxtil e um dos mais baixos custos trabalhistas do mundo. O Caribe também está na alça de mira do empresário, pois vários países possuem acordos de livre-comércio com os Estados Unidos, principal mercado mundial de têxteis.

Rosset afirmou que a abertura de fábricas no exterior será o "último recurso" de seu grupo caso o governo não adote medidas para devolver competitividade à cadeia têxtil. Mas se disse esperançoso. "Estamos conversando com vários ministério e alguma solução deve sair nos próximos meses". Entretanto, Rosset disse que aguarda a ação do governo para continuar seus planos de investimento - o último foi a transferência de uma fábrica de rendas da capital paulista para a vizinha Guarulhos, que consumiu US$ 10 milhões.

Tradicional grupo paulista - criada em 1939 e com uma dezena de fábricas no Estado - o Rosset arrendou uma fábrica de tecidos e montou uma unidade-piloto de lingeries da Valisère em São Gonçalo do Amarante (CE). Caso julgar a experiência bem-sucedida, a empresa poderá transferir para lá a unidade que fica na divisa dos municípios de Santo André e Mauá (SP), que emprega 2,5 mil pessoas só na produção.

O empresário disse que o ICMS cobrado no Ceará, de 3%, poderá atrair boa parte do pólo de confecções paulista, que paga um ICMS de 12%. "Outros estados também baixaram suas taxas".

USP: Autonomia agredida


Por Dalmo de Abreu Dallari
O novo Governador do Estado de São Paulo, José Serra, iniciando o exercício de seu mandato no começo de 2007, editou um conjunto de decretos que parecem ter sido preparados de afogadilho e sem avaliação de suas conseqüências, tendo já acarretado algumas conseqüências negativas, estando neles a raiz da invasão da Reitoria da Universidade de São Paulo por estudantes daquela universidade. Seja qual for a opinião quanto à conveniência e oportunidade da invasão, o fato é que os decretos do Governador estão diretamente ligados àquele acontecimento.

Talvez se diga que se os estudantes estivessem mais bem informados quanto ao exato conteúdo dos decretos e ao seu alcance poderiam manifestar desacordo, mas sem chegar àquela medida drástica, mas isso também revela a afoiteza e imprudência do governo na apresentação do fato consumado, sem maiores esclarecimentos. Na realidade, a análise jurídica dos referidos decretos leva à conclusão de que existem ali algumas evidentes inconstitucionalidades, havendo mesmo, em alguns pontos, uma tentativa de mascarar a realidade, por meio de uma espécie de ilusionismo jurídico, que, no entanto, não resiste a um exame mais atento, mesmo que baseado apenas no bom senso e na lógica. Leia mais aqui

Este artigo foi publicado no site do Deputado estadual de São Paulo. Rui Falcão

L'Allemagne s'irrite du refus américain d'un texte du G8 sur le réchauffement

LE MONDE

BERLIN CORRESPONDANCE

Une semaine avant le sommet du G8 qui doit se tenir à Heiligendamm (Allemagne) du 6 au 8 juin, Berlin et Washington continuent de s'opposer sur la question du changement climatique. Jusqu'à maintenant, les Etats-Unis refusent de souscrire au projet de déclaration préparé par la présidence allemande du G8 (Le Monde du 29 mai), qui doit être adopté par les huit chefs d'Etat et de gouvernement (Allemagne, Canada, Etats-Unis, Grande-Bretagne, Italie, Japon, Russie et France).

L'Allemagne souhaite que les pays les plus riches s'engagent à diviser par deux leurs émissions de gaz à effet de serre d'ici 2050, ce à quoi les Etats-Unis se refusent. Selon l'agence de presse allemande DPA, les négociateurs américains et allemands doivent à nouveau se rencontrer cette semaine, dans l'espoir de trouver un compromis. Une rencontre entre le président George W. Bush et la chancelière Angela Merkel est également prévue juste avant le sommet de Heiligendamm.

Après avoir fait part, au cours du week-end, de son inquiétude, le ministre allemand de l'environnement, Sigmar Gabriel (SPD), a haussé le ton à l'égard des Etats-Unis. "S'ils veulent vraiment bloquer, alors il faudra clairement dire qui en porte la responsabilité", a-t-il déclaré dans le quotidien Saarbrücker Zeitung du lundi 28 mai. "Nous regrettons beaucoup d'avoir jusqu'à maintenant l'impression qu'il est très difficile d'aboutir à des progrès concrets avec l'administration américaine", a souligné M. Gabriel à l'issue d'une rencontre avec Nancy Pelosi, la présidente démocrate du Congrès américain, en visite à Berlin pour deux jours.

Favorable au protocole de Kyoto, Me Pelosi, qui devait rencontrer Mme Merkel, mardi, a affirmé qu'il ne fallait pas "nier le changement climatique" et a assuré que "l'opinion américaine était bien plus avancée sur ce sujet que le gouvernement". Au cours du week-end, la chancelière avait lancé un nouvel appel en faveur de la protection du climat. "Ce n'est qu'en agissant en premiers que nous pourrons convaincre des pays émergents comme la Chine ou l'Inde que le changement climatique est l'un des grands défis de l'humanité", avait-elle déclaré.

Cécile Calla

Leia tambem aqui

Brazil to subsidize birth control pills

The Associated Press
Herald Tribune

Published: May 28, 2007

SAO PAULO, Brazil: Just weeks after Pope Benedict XVI denounced government-backed birth control in a visit to Brazil, the country's leader unveiled a program Monday to provide cheap birth control pills at 10,000 drug stores across Latin America's largest nation.

President Luiz Inacio Lula da Silva said the plan will give poor Brazilians "the same right that the wealthy have to plan the number of children they want."

Brazil already hands out free condoms and birth control pills at government-run pharmacies. But many poor people in the nation of 190 million don't go to those pharmacies, so Silva's administration decided to offer the pills at drastically reduced prices at 3,500 private drug stores, said Health Minister Jose Gomes Temporao.

The price for a year's supply of birth control pills under the new program would be 4.8 reals (US$2.4,€1.78), and anyone — rich or poor — can buy the pills by simply showing a government-issued identification card that almost all Brazilians carry.
The number of outlets selling the pills is expected to rise to 10,000 by the end of this year.

When the 100 million real (US$51 million, €37.9 million) program is fully under way, the government expects to be handing out 50 million packages of birth control pills each year.
Each government-subsidized package — with enough pills to last a month — will cost 0.40 Brazilian reals (US$0.20, €O.15). They now retail for 5 reals (US$2.56, €1.90) to 50 reals (US$25.60, €19.03).

Leia mais aqui no Herald Tribune

A pré-campanha presidencial americana

do Caucus Blog de politica do New York Times

2008: The Changes in Giuliani

May 29, 2007, 8:50 am

By Sarah Wheaton

As he travels around the country seeking the G.O.P. nomination, Rudolph W. Giuliani has offered a calmer side to his personality than what he often displayed while mayor of New York. The Times’s Michael Powell looks back on his political journey:
Mr. Giuliani was a Kennedy Democrat who has allied himself with Bill Clinton on issues like banning assault weapons but has also proclaimed himself a Reagan Republican. Ideological consistency is not Mr. Giuliani’s groove; leadership and destiny are. So is self-assurance. Ask Mr. Giuliani how to impose fiscal discipline on Washington, and he notes: “I’m an expert at it.” Mention New York and he says: “The turnaround was massive, palpable; nobody can really deny it.” Quiz him about presidential qualifications, and he says that there is no way to prepare, but that “being mayor of New York” comes as close as it gets.

As for terror, “I understand terrorism in a way that is equal to or exceeds anyone else,” Mr. Giuliani says.

Mr. Giuliani will drop a self-deprecating joke. When annoyance tickles at the back of his spine, he has learned to smile rather than scowl. But he suffers no deficit of self-confidence.
The Boston Globe examines how Mitt Romney’s ground game and early advertising helped him pull ahead of the Republican field in Iowa—and the new pressures that come with “frontrunner” status.

Janet Hook of The Los Angeles Times reports that while John Edwards’s focus on poverty has helped him surpass better financed Democrats in Iowa, but “the strategy carries risks, in part because it speaks most directly to a slice of the electorate that has notably little political clout.”
One of those better financed candidates, Senator Barack Obama, plans to outline his health care proposal in Iowa City today. Mike Glover of The Associated Press offers a preview:
Under Obama’s proposal, every American would be required to carry health insurance, and the Illinois senator would create a National Health Insurance Exchange to monitor insurance companies in offering the coverage. In essence, Obama’s plan retains the private insurance system but injects additional money into the system to pay for the expanded coverage.
Those who can’t afford coverage would get a subsidy on a sliding scale depending on their income, and virtually all businesses would have to share in the cost of coverage for their workers. The plan that would be offered would be similar to the one covering members of Congress.
Is a man who consistently fails to put the butter away after breakfast fit to be president? Michelle Obama evidently thinks so. Mr. Obama’s daughters also accompanied him on the campaign trail last weekend.

Senator Hillary Rodham Clinton, meanwhile, plans a policy address while in New Hampshire today. Tom Vilsack, the former Iowa governor and Democratic contender-turned-supporter of

Senator Clinton is taking an especially active role in her campaign. “Aides acknowledge privately that Vilsack’s work for the campaign has the look of a rehearsal for the role of running mate, should Clinton win the nomination,” writes Thomas Beaumont in The Des Moines Register. “But while he embarks on a busy summer for Clinton, no prospective No. 2 on a hypothetical Clinton ticket has a higher bar than Vilsack, whose first task is to ensure the senator’s success in Iowa’s leadoff caucuses.”

The A.P. also reports on Democratic candidates’ pursuit of “superdelegates,” a top group of the party’s elected officials who can vote for whomever they please at the nominating convention and who comprise of 14 percent of the delegates needed to win the nomination.

Reporters aren’t the only ones feeling a bit overtaxed by the huge field of presidential candidates. “Burdened by the White House’s wartime security needs, the persistent threat of terrorism and a field of at least 20 presidential contenders, the Secret Service was showing signs of strain even before the Department of Homeland Security ordered protection for Sen. Barack Obama (D-Ill.) as of May 3, the earliest a candidate has ever been assigned protection in an election season,” reports The Washington Post.

segunda-feira, 28 de maio de 2007

Biodiesel Makers See Opportunity as New York Seeks Greener Future

By RAY RIVERA
Published: May 28, 2007


On an industrial strip of land hemming Newtown Creek, pipelines snake low to the ground, connecting an array of giant beige oil tanks.
Plans for two biodiesel fuel
refineries are under way in Brooklyn


From outward appearances, this little patch of Texas in Greenpoint, Brooklyn, would not seem to easily fit into Mayor Michael R. Bloomberg’s plan for a greener, less petroleum-dependent future.

But this fuel terminal may soon be home to one of the largest biodiesel fuel manufacturing plants in the country. The terminal’s owner, the Metro Fuel Oil Corporation, is awaiting city approval to produce 110 million gallons of fuel a year from raw vegetable oils. The output would amount to more than 40 percent of the biodiesel fuel produced in the country last year.

The Greenpoint plant and a smaller proposed plant in Red Hook, Brooklyn, both scheduled to open next year, would be the first biodiesel refineries in the city, hitching onto an industry that has been concentrated in the Midwest and the South.

The growth and eastward expansion of the industry are being driven by high petroleum prices and government programs aimed at reducing pollution and demand for foreign oil. But these changes are also creating concerns that the push for alternative fuels, if not managed carefully, could have unintended consequences like deforestation and higher food prices in the race to convert more land for fuel crop production.

“We have to pick the right policies and the best technologies,” said Ron Pernick, co-founder of Clean Edge, a Portland, Ore., research and consulting company. “But when done right, the move to biofuels addresses a number of issues, from the volatile prices of fossil fuels, to reliance on foreign supplies, to climate change, to job creation.”

Metro, a family-owned company that employs about 130 people (another 35 would come on when biodiesel production begins, officials say), added biodiesel fuel to its traditional petroleum line about two years ago, trucking it in from out of state.

As oil prices spiked last summer, soaring to $78 a barrel, the demand for alternative fuels like biodiesel shot up. “You just couldn’t get enough of it,” said Tom Torre, the company’s chief operating officer. He and the company’s owners, Paul J. and Gene V. Pullo, envisioned barges steaming up the East River loaded with soybean oil from crushing plants in Maryland and Pennsylvania.

“The cost factors were there,” Mr. Torre said. “And we thought, ‘You know, we could put a plant right here in the city.’ ”

Supporters of biodiesel fuel say it is attractive because it comes from renewable sources, like soybeans, palm and seed oils and animal fats. It emits fewer greenhouse gases, which are linked to rising global temperatures, and less particulate matter than conventional diesel. Typically blended with conventional diesel, it can be used in most diesel engines and oil furnaces with little or no adjustment. On the downside, it typically costs more than regular diesel fuel. Leia mais aqui no New York Times

Serra, a USP e a foto

FERNANDO DE BARROS E SILVA
SÃO PAULO

Folha de São Paulo

O que querem as mulheres? A clássica pergunta de Freud não vale para José Serra. Todos sabem a resposta: ele só pensa naquilo. Mas 2010 ainda está longe, felizmente para Serra, porque seu governo começou de forma bastante decepcionante. Ou seria melhor dizer sintomática? A crise da USP é o melhor exemplo.

O governo meteu os pés pelas mãos. Após nomear para a nova Secretaria do Ensino Superior este que é, no meio universitário, uma unanimidade às avessas, quis ainda transformar José Aristodemo Pinotti no presidente do conselho de reitores. Pegou tão mal que Serra desistiu do seu interventor branco.

O recuo, no entanto, não desfaz a sensação de que pretendia enquadrar as universidades -este é o sentido geral implícito no conjunto dos decretos contra o qual se rebelaram os estudantes que estão na reitoria.

Obrigado a vir a público, o governo Serra tergiversa, desconversa, age reiteradamente de forma oblíqua. Ora parece pouco seguro de seus propósitos, ora dá a impressão de que quer engambelar a platéia.

O fato é que se negou, até aqui, a rever o decreto mais polêmico, que submete à aprovação da Secretaria da Fazenda o remanejamento de verbas na universidade. Por quê?

Está em curso uma campanha de demonização dos estudantes -retrógrados, baderneiros, urram, histéricos, os arautos do novo "Estado de direita". Leia mais na Folha de São Paulo (para assinantes)

'80% do contrabando chinês vêm do Paraguai'

CORPO A CORPO
ROSANA PINHEIRO MACHADO
PEQUIM.

Entre os estandes do mercado Xiushui, em Pequim, um dos maiores pontos de venda de falsificação da capital chinesa, a antropóloga Rosana Pinheiro Machado, da Universidade Federal do Rio Grande do Sul, parece mais uma compradora. Na verdade, está terminando sua pesquisa para a tese de doutorado “Made in China”, patrocinada pela Weimer Grem Foundation, que pretende mostrar como funcionam as redes de contato que possibilitam o contrabando de produtos chineses para o Brasil via Paraguai. Autora de uma tese de mestrado sobre o contrabando paraguaio para o Brasil (“La garantia soy yo”), a pesquisadora decidiu ir à China saber onde tudo começa.

O GLOBO: Por que começou a pesquisar o contrabando na China?

ROSANA PINHEIRO MACHADO: Ao fazer minha tese de mestrado sobre o contrabando do Paraguai para o Brasil, que começou em 1999, percebi que as redes funcionam com chineses e paraguaios no Paraguai importando produtos da China. Com base na pesquisa com autoridades e fabricantes nos três países, estimo que 80% do contrabando chinês vendido no Brasil passam pelo Paraguai.

O Globo: Como os dados são recolhidos?

ROSANA: Visito as inúmeras fábricas que produzem artigos falsificados na costa de Guangdong, a província mais industrializada no Sul da China e onde começaram as zonas econômicas especiais, como Shenzhen. As estimativas mais conservadoras mostram que há cerca de três mil fábricas especializadas em pirataria, mas as maiores fornecedoras acabam sendo as que produzem oficialmente para as grandes marcas.

O Globo: E como isso ocorre?

ROSANA: Na base das relações pessoais, as redes de relacionamentos, ou guanxi, como se diz aqui. Esta rede é 100% informal e conta com os policiais e fiscais da região, os mais ricos da China: mantêm padrão de vida de quem ganha o triplo de seu salário. O governo é no mínimo leniente com a pirataria. Afinal, são milhares de empregos e renda. Todos repetem a famosa frase de Deng Xiaoping: “Não importa a cor do gato desde que ele saiba caçar ratos”.

O Globo: E como foi sua experiência?

ROSANA: Um policial graduado da região me levou às fábricas, onde estrangeiros não podem entrar, no continente e em navios no mar do Sul da China, com entre cem e 200 funcionários, a maioria imigrantes. Alguns gerentes me diziam que forneciam para grandes grifes, mas faziam cópias piratas se alguma outra empresa encomendasse. Em todas, o policial ganhou presentes.

O Globo: E como funciona esta proteção às fábricas piratas?

ROSANA: Não há como atravessar a fronteira entre Shenzhen e Hong Kong carregando muambas sem a conivência da polícia local. Além disso, os empresários me diziam que a maneira mais barata de entrar para o mundo dos negócios na China é abrir uma empresa pirata. Estas empresas acabam crescendo e há um acordo informal com o governo para que se legalizem. Eles criam uma grife e passam a fazer produtos muito parecidos com os falsificados, com nomes locais. Com o tempo, investem em marketing. Pronto, o negócio está legalizado. (Gilberto Scofield Jr., correspondente) Leia reportagem completa no jornal O Globo (para assinantes)

Vem aí o desenvolvimento limpo

Por Ilimar Franco para O Globo

O projeto nasceu no Ministério do Meio Ambiente, e sua implementação está agora sendo planejada pelo Ministério do Turismo. O Proecotur é um ambicioso plano de construção de hotéis de luxo e de ampliação de linhas aéreas para levar o turismo internacional a conhecer os parques nacionais e as reservas indígenas. Consultada, a Funai está aprovando o programa. — O Brasil tem 25 parques top de linha para visitação. A ministra Marta Suplicy conseguiu recursos para a pista do aeroporto do Parque Nacional da Serra das Capivaras. Isso atrairá pesquisadores do mundo inteiro para cá, e vai mais do que duplicar o orçamento de vários municípios e estados que apostaram na preservação — diz a ministra Marina Silva. Esse programa, para os ambientalistas, reduzirá a pressão pela ampliação da fronteira agrícola em toda a Região Norte do país. Se o programa vingar, a expectativa é de que as populações locais, que vão ganhar com o turismo, passem a ser as principais defensoras da preservação da floresta e das terras indígenas. leia mais no jornal O Globo (para assinantes)

domingo, 27 de maio de 2007

Los socialistas ganan poder, el PP votos

Editorial do jornal espanhol El País

El Partido Popular fue ayer la formación más votada en el conjunto de los municipios españoles por una diferencia de unos 160.000 votos, ligeramente superior a la que hace cuatro años permitió al PSOE proclamarse vencedor en los comicios. Ese resultado es efecto, en gran medida, del triunfo en Madrid de Esperanza Aguirre y Alberto Ruiz-Gallardón a costa de un PSOE que cosecha un fracaso sin paliativos en la capital de España. La paradoja de la situación es que, pese a ese retroceso en el cómputo global, los socialistas no sólo tendrán más concejales, sino que están en disposición de ganar posiciones en el reparto de poder territorial por efecto de la pérdida de mayoría absoluta del PP en comunidades y ayuntamientos que venía gobernando. Leia mais aqui

El PSOE conserva Barcelona y Sevilla y el PP arrasa en Madrid y Valencia

Zapatero vota junto a su mujer, Sonsoles Espinosa- AP

Las elecciones autonómicas celebradas hoy en toda España no han ofrecido grandes sorpresas.

El PSOE conserva la alcaldía de Barcelona y Sevilla. El PP, por su parte, arrasa en Madrid y en Valencia. En cuanto a las autonómicas, el sondeo de IPSOS indica que el PP podría perder la mayoría absoluta en Navarra y tal vez en Baleares.

El PSOE obtiene el 35,46% de los votos, frente al 35,24% del PP en las elecciones municipales celebradas hoy con el 81% de los votos escrutados, una diferencia de unos 40.000 sufragios. Los socialistas ganaron en votos los comicios celebrados en 2003, con apenas 123.000 sufragios más que los populares. Apenas seis décimas separaron entonces a PSOE (34,83%) y PP (34,29%).

El sondeo de IPSOS hecho público a las ocho de la tarde indica que el PP podría perder la mayoría absoluta en Navarra y tal vez en Baleares. Gobernaría en 31 capitales, frente a las 18 del PSOE. En Madrid, el PP arrasa.

El PSOE obtiene el 35,57% de los votos, frente al 34,90% del PP en las elecciones municipales celebradas hoy con el 73% de los votos escrutados, una diferencia de unos 111.000 sufragios. Los socialistas ganaron en votos los comicios celebrados en 2003, con apenas 123.000 sufragios más que los populares. Apenas seis décimas separaron entonces a PSOE (34,83%) y PP (34,29%).

En 1999, los populares obtuvieron una victoria en el conjunto de votos igualmente apretada: 34,44% frente al 34,26% de los socialistas. Tras el recuento de las papeletas de las municipales se procederá a contabilizar las de las elecciones autonómicas, que se celebran en 13 comunidades autónomas, Ceuta y Melilla.

Por municipios, en Madrid, con poco más del 63% escrutado, el popular Alberto Ruiz Gallardón revalidaría su mayoría absoluta con 33 concejales, frente a 19 del PSOE y cinco de IU.

En Barcelona, con el 75% recontado, el PSC mantendría sus 15 concejales y, previsiblemente, la alcaldía. CIU subiría de nueve a once; el PP mantendría sus siete y se quedarían en cuatro Esquerra e ICV, que en la actualidad tienen cuatro.

En Valencia, con el 60%, el PP obtendría 21 concejales, por 12 del PSOE y ninguno de IU. En Sevilla, con el 94% escrutado gana por apenas mil votos el PP, que obtendría 15 concejales, igual número que el PSOE, que podría repetir mandato con el apoyo de los tres de IU.

En Zaragagoza el PSOE gana un concejal con el 95% escrutado y alcanza los 13, el PP conseguiría 12, CHA tres, el PAR dos e IU uno.

Sondeo IPSOS

Tras el recuento de las municipales comenzará el de las autonómicas. Hasta que comience el recuento, la referencia es el sondeo que a las 20.00 horas ha difundido el insituto IPSOS para TVE y las autonómicas de la FORTA. Según esa encuesta, los dos grandes partidos mantienen básicamente sus feudos aunque peligra el Gobierno popular en Baleares y Navarra.

En Navarra ganaría UPN pero ha habido un fuerte ascenso de los nacionalistas de Nafarroa Bai, que incluso ha ganado en Pamplona, según la encuesta. UPN obtendría entre 19 y 21 diputados (tenía 23), Naforroa Baie entre 14 y 16 (no se presentó a los anteriores comicios, en los que los partidos nacionalistas obtuvieron ocho escaños) y el PSOE entre 11 y 13 (tiene 11).

En Baleares el PP, que ahora tiene mayoría absoluta, necesitaría un pacto con Unión Mallorquina para gobernar. En Cantabria el partido más votado es el PP, pero no gobernaría si se reedita el actual pacto de Gobierno entre los regionalistas y el PSOE.

En Madrid El Partido Popular lograría aumentar la mayoría de votos en Asamblea y Ayuntamiento de Madrid, al obtener el 50,5% de los votos y el 52,9%, respectivamente. Según la encuesta el PP obtendría entre 63 y 66 escaños en la Asamblea de Madrid, el PSOE entre 43 y 46 e IU entre 10 y 12. En la capital, el PP lograría entre 31 y 33 concejales, el PSOE entre 19 y 21 e IU entre 5 y 6.

En Canarias, donde los datos se han facilitado a las 21.00, hora peninsular, coincidiendo con el cierre de los colegios en el archipiélago, el candidato del PSOE, Juan Fernando López Aguilar, obtendría una gran subida pero necesitaría a Coalición Canaria para gobernar.

El Gobierno preveía que a las 22.00 se conocieran ya resultados significativos de las municipales. Se espera a partir de esa hora una comparecencia de la vicepresidenta, María Teresa Fernández de la Vega, y el ministro del Interior, Alfredo Pérez Rubalcaba. Hoy se eligen 65.347 concejales, 8.111 alcaldes, 3.023 alcaldes pedáneos, 1.036 diputados provinciales, 153 consejeros de cabildos insulares, otros tantos apoderados y junteros en los territorios históricos del País Vasco, 1.089 miembros de los concejos de Navarra, 13 consejeros del Consejo General de Arán-Lleida y 59 consejeros insulares de Mallorca, Menorca e Ibiza. Fuente El País de Espanha